Ceci est un cumul d'extraits, citations, ... tirés de "Mein Kampf", en français "Mon Combat" le livre d'Adolph Hitler. Cette publication est faite dans l'unique but d'apporter un bref résumé aux désireux, à ceux qui aimeraient faire un rapide tour d'horizon de ce qui est dit dans ce livre si célèbre rédigé par le Fuhrer lui-même à travers quelques extraits. Il n'est donc en aucun cas ici question comme le rappelle ce livre d'ailleurs de rappeler l'un des souvenir les plus douloureux de l'histoire ou de faire apologie à la violence raciale, ethnique ou toutes autres formes d'impétuosité.

Les passages sont choisis à nos soins en fonction de leur pertinence sans oublier les grands titres et numéros de pages qui permettront de guider le lecteur. Les paroles d'Hitler sont signées "AH".  Commençons la lecture !

 

 

AVERTISSEMENT AUX LECTEURS

Il n’existe pas de hiérarchie d’ordre mental ou moral entre les ethnies ou
races humaines.

Commission Internationale de Savants, réunie par l’UNESCO (P.6)

 


Si vous prêchez pendant dix longues années que les peuples slaves constituent
une race inférieure et que les Juifs sont des sous-hommes, il s’ensuivra
logiquement qu’on acceptera comme un phénomène naturel le fait de tuer des
millions de ces êtres humains.

Général des S.S. Von Dem Bach Zelewsky (P.6)

 

 Si la juiverie internationale réussissait, en Europe ou ailleurs, à
précipiter les peuples dans une guerre mondiale, le résultat n’en serait
point une bolchevisation de l’Europe et une victoire du judaïsme, mais
l’extermination de la race juive en Europe.

Adolph Hitler (AH) (P.11)

 

Si l’on s’était débarrassé à temps de ces quelque douze mille coquins, on
aurait peut-être sauvé l’existence d’un million de bons et braves allemands
pleins d’avenir.

AH (P.12)

 

Le principe même d’une « industrie de la mort » était tellement nouveau,
tellement insolite qu’à l’étranger, notamment dans les pays belligérants ou
les pays neutres, on refusait d’y ajouter foi. 

L'éditeur (P.15)

 

Nous avions à Auschwitz deux médecins S.S. de service, dont la mission
consistait à procéder à l’examen physique des prisonniers dès l’arrivée des
convois. Les prisonniers devaient défiler devant l’un des médecins qui
prenait sa décision immédiatement, à mesure qu’ils passaient. Ceux qui
étaient capables de travailler étaient envoyés au camp. Les autres étaient
immédiatement envoyés aux installations d’extermination. Dans tous les cas,
les enfants en bas âge étaient tués, car leur âge les rendait inaptes au
travail (...). Très souvent, des femmes cachaient leurs enfants sous leur
vêtement mais évidemment, lorsque nous les trouvions, ils étaient expédiés
vers les lieux d’extermination.

Hoess (Commandant SS) (P16)

*


MON COMBAT I

*

AVERTISSEMENT DES EDITEURS

*

Certains « historiens » nient l’évidence des génocides perpétrés par les
nazis afin de rendre à nouveau présentable cette doctrine.

L'éditeur (P.16)

 

Ces résultats ne seront atteints ni par des prières au Seigneur, ni par des
discours, ni par des négociations à Genève. Ils doivent l’être par une guerre
sanglante.

Adolph Hitler (AH) (P.25)

 

 

Les paroles et les écrits publics d’un homme public appartiennent au public.
Et quand on a jeté à la face d’un peuple des menaces aussi précises, on n’a
plus moralement le droit de l’empêcher de les connaître. 

L'éditeur (P.26)

 

Hitler n’est pas un homme d’argent; il n’a pas écrit son livre pour battre
monnaie.

AH (P.26)

 

Pour les nationaux-socialistes, le droit c’est ce qui sert le peuple
allemand. L’injustice, c’est ce qui lui porte dommage.

M. Frick (ancien Minitre de l'Intérieur d'Hitler) (P.26)

 

*

PREFACE

*

Je ne m’adresse pas ici à des étrangers, mais à ces partisans du mouvement,
qui lui sont acquis de cœur et dont l’esprit cherche maintenant une
explication plus approfondie.

AH (P.27)

 

Je n’ignore point que c’est par la parole beaucoup plus que par des livres
que l’on gagne les hommes : tous les grands mouvements que l’histoire a
enregistrés ont dû beaucoup plus aux orateurs qu’aux écrivains. 

AH (P.28)

*


Tome premier

*

BILAN

*

Chapitre 1

*

La Maison Familiale

*

Même si cette fusion, économiquement parlant, est indifférente ou même
nuisible, elle doit avoir lieu quand même. Le même sang appartient à un même
empire. Le peuple allemand n’aura aucun droit à une activité politique
coloniale tant qu’il n’aura pu réunir ses propres fils en un même État.

Adolph Hitler (AH) Sur un retour de l'Autriche à l'Allemagne (P.32)

 

Les ébats en liberté, l’école buissonnière, la fréquentation de vigoureux garçons – qui
souvent donnait à ma mère d’amers soucis – me rendirent rien moins que
casanier. Je m’interrogeais rarement sur ma vocation.

Adolph Hitler (AH) (P.35)

 

J’étais devenu un petit meneur, difficile à mener lui-même, d’ailleurs bon
écolier, ayant le travail facile

AH (P.35)

 

 La décision de mon père était donc simple, assurée et naturelle à ses
propres yeux. Un homme de ce caractère, que la dure lutte pour l’existence
avait rendu dominateur, n’admettait pas de laisser des enfants inexpérimentés
et irresponsables décider de leur carrière. 

AH (P.38)

 

Pour la première fois de ma vie – j’avais onze ans – je me rangeais dans
l’opposition. Aussi tenace que pût être mon père pour mener à bien les plans
qu’il avait conçus, son fils n’était pas moins obstiné à refuser une idée
dont il n’attendait rien de bon.

AH (P.38)

 

 J’avais des nausées à penser que je pourrais un jour être prisonnier dans un
bureau; que je ne serais pas le maître de mon temps, mais obligé de passer
toute ma vie à remplir des imprimés. 

AH (P.39)

 

 L’enseignement peu absorbant de l’école me donnait tellement de loisirs que
je vivais plus souvent au soleil qu’enfermé.

AH (P.39)

 

J’étudiais ce qui me plaisait, surtout ce que je jugeais pouvoir me servir
plus tard comme peintre.

AH (P.42)

 

C’est en géographie, et plus encore en histoire universelle, que je
réussissais le mieux. C’était là mes deux matières favorites dans lesquelles
je dominais la classe.

AH (P.42)

 

En ce qui concerne les Autrichiens allemands en particulier, on confondait
trop facilement une dynastie à son déclin et un peuple foncièrement sain. 

AH (P.43)

 

Quiconque connaît l’âme de la jeunesse, comprendra que c’est elle qui peut
écouter avec le plus de joie un pareil appel.

AH (P.45)

 

Les jeunes étaient ainsi éduqués politiquement à une époque où les
ressortissants d’un État soi-disant national ne connaissaient guère autre
chose de leur race que leur langue.

AH (P.45)

 

Il va sans dire que je ne fus jamais un tiède.

AH (P.45)

 

Celui qui n’a jamais pris la peine d’étudier la situation intérieure de la
monarchie des Habsbourg, a peine à comprendre une semblable préférence.

AH (P.46)

 

Le destin de cet État est lié à tel point à la vie et au développement de
tout ce qui est allemand que l’on ne peut imaginer une séparation de
l’histoire en histoire allemande et histoire autrichienne.

AH (P.46)

 

Encore aujourd’hui, l’enseignement de l’histoire mondiale dans les écoles
primaires supérieures est bien souvent mauvais.

AH (P.47)

 

Peu de professeurs comprennent que le but de l’enseignement de l’histoire
n’est pas d’apprendre des dates et des faits ; qu’il est sans intérêt que
l’enfant sache exactement la date d’une bataille ou de la naissance d’un
maréchal, ou du couronnement d’un monarque.

AH (P.47)

 

Étudier l’histoire, c’est rechercher les causes déterminantes des événements
historiques.

AH (P.47)

 

L’art de lire et d’étudier consiste en ceci : conserver l’essentiel, oublier
l’accessoire

AH (P.47)

 

Ma vie entière a peut-être été déterminée par le fait que j’ai eu un
professeur d’histoire qui comprenait, comme bien peu de gens, l’intérêt
primordial à attribuer à ces considérations pour l’enseignement et les
examens

AH (P.47)

 

Aujourd’hui encore, je n’évoque pas sans émotion cet homme qui nous faisait
oublier le présent, nous transportait magiquement dans le passé et rendait
une vivante réalité à quelque souvenir historique desséché.

AH (P.47)

 

Mais, qui aurait pu étudier l’histoire de l’Allemagne avec un tel professeur
sans devenir l’ennemi d’une dynastie dont l’influence sur les destinées de la
nation s’avérait aussi désastreuse ? 

AH (P.48)

 

Qui aurait pu rester fidèle sujet d’une dynastie que le passé et le présent
nous montraient trahissant toujours et toujours les intérêts allemands pour
d’ignobles profits personnels ? 

AH (P.48)

 

L’histoire universelle facilita toujours davantage ma compréhension de l’action historique dans le présent, c’est-à-dire de la politique : je n’aurai donc pas à l’apprendre, c’est elle qui devra m’instruire.

AH (P.51)

 

Dès ma première jeunesse, j’avais dégagé quelques idées essentielles dans lesquelles, par la suite, je ne devais jamais cesser de m’affermir

AH (P.50)

 

Il n’y a aucun rapport entre le sentiment national et la fidélité à une dynastie.

AH (P.50)

 

J’avais treize ans quand je perdis subitement mon père. Une attaque d’apoplexie le terrassa en pleine vigueur et termina sans souffrance sa carrière terrestre

AH (P.52)

 

Deux ans plus tard, la mort de ma mère brisait brutalement ces beaux projets. Elle succomba à une longue et douloureuse maladie qui ne laissa dès le début qu’un bien faible espoir de guérison.

AH (P.54)

 

J’avais révéré mon père, mais j’avais aimé ma mère. 

AH (P.54)

 

*

Chapitre II


Années d’études et de souffrances à Vienne

*

 

 J’étais si persuadé du succès que l’annonce de mon échec me frappa comme un coup de foudre dans un ciel clair.

AH (P.56)

 

Ce que j’avais négligé jusqu’ici par défi à la Realschule allait se venger amèrement.

AH (P.57)

 

Les difficultés rencontrées étaient de celles que l’on brise et non pas de celles devant lesquelles on capitule.

AH (P.57)

 

Je remercie cette époque de m’avoir rendu dur et capable d’être dur. Plus encore, je lui suis reconnaissant de m’avoir détaché du néant de la vie facile, d’avoir extrait d’un nid délicat un enfant trop choyé, de lui avoir donné le souci pour nouvelle mère, de l’avoir jeté malgré lui dans le monde de la misère et de l’indigence et de lui avoir ainsi fait connaître ceux pour lesquels il devait plus tard combattre. 

AH (P.58)

 

C’est à cette époque que mes yeux s’ouvrirent à deux dangers que je connaissais à peine de nom et dont je ne soupçonnais nullement l’effrayante portée pour l’existence du peuple allemand : le marxisme et le judaïsme.

AH (P.58)

 

 La faim était alors le gardien fidèle qui ne m’abandonna jamais, la compagne qui partagea tout avec moi.

AH (P.59)

 

Je suis aujourd’hui fermement convaincu que c’est en général dans la jeunesse qu’apparaît chez l’homme l’essentiel de ses pensées créatrices.

AH (P.60)

 

Je distingue entre la sagesse du vieillard qui comporte une plus grande profondeur et une prévoyance résultant de l’expérience d’une longue vie, et le génie créateur de la jeunesse qui, avec une fécondité inépuisable, répand des pensées et des idées sans pouvoir immédiatement les mettre en valeur par suite de leur abondance même. Elle fournit les matériaux et les plans d’avenir où puisera l’âge mûr, dans la mesure où la prétendue sagesse des années n’aura pas étouffé le génie de la jeunesse.

AH (P.60)

 

 Si étonnant que cela puisse paraître à première vue, le fossé qui sépare cette classe économiquement peu favorisée de celle des travailleurs manuels est souvent plus profond qu’on ne le pense.

AH (P.60-61)

 

 Des gens qui se sont élevés de fraîche date au-dessus du niveau des travailleurs manuels, redoutent de retomber dans un ancien milieu qu’ils méprisent un peu, ou tout au moins de paraître encore en faire partie.

AH (P.61)

 

 Tout ce qu’il y a de repoussant dans le souvenir de la grossièreté des relations avec ces basses classes, c’est une obligation insupportable que d’y retomber pour quelques instants. 

AH (P.61)

 

On constate également que, souvent, les gens d’un niveau social élevé descendent vers les plus humbles de leurs concitoyens, avec moins de prévention que les parvenus. J’appelle parvenu quiconque s’est élevé par ses propres moyens d’une situation donnée à une situation supérieure. À celui-là, l’âpre combat qu’il a livré fait perdre bien souvent toute sensibilité et toute pitié pour les malheureux qui sont demeurés en arrière. 

AH (P.61)

 

Quiconque ne s’est pas trouvé réduit lui-même à une semblable misère ne la connaîtra jamais. Dans tout autre cas, il n’y aura chez lui que bavardage superficiel ou sentimentalité mensongère.

AH (P.63)

 

Avec leur esprit dénué d’instinct, ils se bornent à essayer de comprendre en gros. Ils s’étonnent ensuite que les opinions qu’ils professent n’aient aucun succès ou qu’elles soient repoussées avec indignation ; on y voit volontiers une preuve de l’ingratitude du peuple. 

AH (P.63)

 

Il ne me fut jamais très difficile de trouver du travail, puisque ce n’était pas comme ouvrier spécialisé, mais comme manœuvre ou travailleur auxiliaire, que je cherchais à gagner mon pain. 

AH (P.64-65)

 

Il était moins difficile de trouver un travail quelconque que de le conserver.

AH (P.65)

 

L’insécurité du pain quotidien m’apparut comme un des côtés les plus sombres de cette vie nouvelle. 

AH (P.65)

 

Le travailleur spécialisé n’est pas mis sur le pavé, aussi fréquemment que le manœuvre : il ne peut cependant compter sur aucune certitude. S’il risque moins la famine par manque de travail, il lui reste à redouter le lock out ou la grève. 

AH (P.65)

 

L’insécurité des salaires quotidiens est une des plus graves plaies de l’économie sociale. 

AH (P.65)

 

Le jeune cultivateur est surtout tenté par la lumière éblouissante qui ne rayonne que dans les grandes villes. Habitué à une certaine sécurité de gain, il a coutume de ne quitter son ancienne place que lorsqu’il en a au moins une nouvelle en vue.

AH (P.66)

 

Le manque de travailleurs agricoles est si grand qu’à la campagne un long chômage est invraisemblable.

AH (P.66)

 

 C’est une erreur de croire a priori que le jeune garçon qui se rend à la ville est taillé dans un plus mauvais bois que celui qui continue à travailler la terre.

AH (P.66)

 

Par émigrant, je n’entends pas seulement celui qui part pour l’Amérique, mais aussi le jeune valet qui se décide à quitter le village natal pour aller à la grande ville inconnue. Lui aussi est prêt à courir les chances d’un destin incertain.

AH (P.66)

Quand la caisse de chômage, à la longue, cesse de payer le secours, la grande misère arrive

AH (P.67)

 

 La répétition a créé l’habitude. 

AH (P.67)

 

L’homme jadis laborieux se relâche en toutes choses jusqu’à devenir un simple instrument aux mains de gens qui ne poursuivent que d’ignobles profits.

AH (P.67)

 

Vive était ma réprobation contre ces villes de plusieurs millions d’habitants, qui attirent si avidement les hommes pour les broyer ensuite de façon si effroyable. 

AH (P.67-68)

 

Visiblement, le corps s’habitue peu à peu à l’abondance dans les bonnes périodes et à la faim dans les mauvaises.

AH (P.68)

 

La faim supprime tout projet d’une organisation meilleure à réaliser aux époques où le gain sera plus facile. Elle fait danser devant celui qu’elle torture, en un persistant mirage, les images d’une « bonne vie » facile ; elle donne à ce rêve une telle attirance qu’il devient un désir maladif qu’il faudra satisfaire à tout prix, dès que la paie le permettra tant soit peu.

AH (P.68)

 

L’homme qui vient à peine de trouver du travail, perd  tout bon sens et toute mesure, et se lance dans une vie large au jour le jour. Au lieu de régler intelligemment son petit train de vie pour toute la semaine, il le bouleverse de fond en comble. Son gain dure, au début, cinq jours sur sept, plus tard trois seulement, plus tard encore un seul jour ; finalement, il s’envole en une nuit de fête. 

AH (P.68-69)

 On en parle. On fait des plans et, le ventre vide, on rêve du bonheur qui va revenir. 

AH (P.69)

 

Que serait-il arrivé, qu’arriverait-il si de ces enfers de misère, un flot d’esclaves déchaînés se déversait sur le reste de l’humanité qui, dans une totale inconscience, laisse aller les événements sans même soupçonner que tôt ou tard le destin, s’il n’est pas conjuré, amènera de fatales représailles.

AH (P.70)

 

 Seul, un double chemin pouvait conduire à l’amélioration

AH (P.71)

 

Établir des bases meilleures de notre développement en s’inspirant d’un profond sentiment de responsabilité sociale. 

AH (P.71)

 

Anéantir avec une décision brutale les rejetons non améliorables.

AH (P.71)

 

La nature ne s’attache pas tant à la conservation de l’être qu’à la croissance de sa descendance

AH (P.71)

 

Dans la vie, il n’y a guère lieu d’améliorer artificiellement les mauvais côtés du présent – amélioration d’ailleurs pratiquement impossible – mais de préparer des voies plus saines au développement futur de l’homme en le prenant à ses débuts. 

AH (P.71)

 

Le but de l’activité sociale ne devra jamais être d’entretenir une endormante prospérité, mais bien plutôt d’éviter ces carences essentielles de notre vie économique et culturelle, qui conduisent nécessairement à la dégénérescence de l’individu ou tout au moins peuvent l’entraîner. 

AH (P.72)

 

Ce n’est que lorsqu’une époque ne sera plus envoûtée par la propre conscience de sa responsabilité qu’elle recouvrera, avec le calme intérieur, la force extérieure de trancher brutalement et sans regret les pousses parasitaires, et d’arracher l’ivraie.

AH (P.72)

 

 

Combien se rendent compte que leur fierté bien naturelle d’appartenir à un peuple privilégié se rattache, par un nombre infini de liens, à tout ce qui a fait leur patrie si grande, dans tous les domaines de l’art et de l’esprit ? 

AH (P.73)

 

 Un malheureux gamin de six ans n’ignore pas des détails qui feraient frémir un adulte.

AH (P.75)

 

 Depuis l’école jusqu’aux plus hauts corps de l’État ; religion, morale, nation et société, tout est traîné dans la boue. Quand le garçonnet quitte l’école à quatorze ans, on ne sait ce qui domine en lui : ou une incroyable sottise, pour tout ce qui est d’une connaissance positive, ou insolence caustique et immoralité à faire dresser les cheveux. 

AH (P.76)

 

Transformer un peuple en nation présuppose la création d’un milieu social sain, plateforme nécessaire pour l’éducation de l’individu. Seul, celui qui aura appris, dans sa famille et à l’école, à apprécier la grandeur intellectuelle, économique et surtout politique de son pays, pourra ressentir – et ressentira – l’orgueil de lui appartenir. On ne combat que pour ce que l’on aime ; on n’aime que ce qu’on estime ; et pour estimer, il faut au moins connaître. 

AH (P.77)

 

Je connais des gens qui lisent interminablement livre sur livre, une lettre après l’autre. Ils possèdent un amas énorme de connaissances, mais leur esprit ne sait ni les cataloguer ni les répartir. Il leur manque l’art de distinguer dans un livre les valeurs à se mettre pour toujours dans la tête et les passages sans intérêt

AH (P.79)

 

Lire n’est pas un but, mais le moyen pour chacun de remplir le cadre que lui tracent ses dons et ses aptitudes.

AH (P.79)

 

Comment pourrait-on expliquer autrement que les plus grands pontifes du gouvernement réalisent tant de bévues malgré toute leur science ? Ou bien alors il faudrait voir en eux, non plus un fâcheux état pathologique, mais la plus vile coquinerie.

AH (P.81)

 

Celui qui sait lire discerne instantanément dans un livre, un journal ou une brochure, ce qui mérite d’être conservé soit en vue de ses besoins personnels, soit comme matériaux d’intérêt général.

AH (P.81)

 

La lecture n’a de sens et d’utilité qu’ainsi comprise.

AH (P.81)

 

Dès ma jeunesse je me suis efforcé de bien lire et j’ai été heureusement servi par ma mémoire et mon intelligence.

AH (P.81)

 

Dès ma jeunesse je me suis efforcé de bien lire et j’ai été heureusement servi par ma mémoire et mon intelligence.

AH (P.82)

 

Il ne faut pas surestimer la force de cohésion que confère le slavisme à un État.

AH (P.83)

 

 A dix-sept ans, je n’avais pas encore grande notion du marxisme, et j’attribuais la même signification à Social-Démocratie et à Socialisme. Là encore, la main rude du destin devait m’ouvrir les yeux sur cette duperie des peuples. 

AH (P.84)

 

 J’avais en effet appris à mieux connaître mon entourage, et aucune puissance au monde n’aurait pu me faire entrer dans une organisation dont les représentants m’étaient apparus sous un jour aussi défavorable. 

AH (P.85-86)

 

J’entendais rejeter tout : la Nation, invention des classes « capitalistes » – que de fois n’allais-je pas entendre ce mot ! – la Patrie, instrument de la bourgeoisie pour l’exploitation de la classe ouvrière ; l’autorité des lois, moyen d’opprimer le prolétariat ; l’école, institution destinée à produire un matériel humain d’esclaves, et aussi de gardiens ; la religion, moyen d’affaiblir le peuple pour mieux l’exploiter ensuite ; la morale, principe de sotte patience à l’usage des moutons, etc. Il n’y avait rien de pur qui ne fût traîné dans la boue. 

AH (P.86-87)

 

J’allais assez souvent lire les journaux ; mais jusqu’alors je n’arrivais pas à lire plus de deux minutes cette misérable feuille, dont le ton agissait sur mon esprit comme du vitriol.

AH (P.88-89) 

 

Les livres sont pour les niais et les imbéciles des « classes intellectuelles » moyennes, et aussi naturellement des classes supérieures ; les journaux sont pour la masse. 

AH (P.89)

 

Ce qui m’avait paru jadis un abîme infranchissable, me devint l’occasion d’un plus grand amour.

AH (P.90)

 

Si à la Social-Démocratie s’oppose une doctrine mieux fondée, celle-ci vaincra même si la lutte est chaude, à condition cependant qu’elle agisse avec autant de brutalité.

AH (P.91)

 

La tactique de la Social- Démocratie consiste à faire pleuvoir, à un signal donné, une véritable averse de mensonges et de calomnies sur les adversaires qui lui semblent les plus redoutables, jusqu’à ce que leurs nerfs soient brisés, et qu’ils se soumettent à l’odieux dans le fol espoir de recouvrer la tranquillité. 

AH (P.91)

 

La Social-Démocratie connaît admirablement la valeur de la force, elle s’acharne surtout contre ceux en qui elle flaire quelque étoffe. Inversement, elle décerne aux êtres faibles du parti adverse des louanges plus ou moins discrètes selon l’idée qu’elle se fait de leur valeur intellectuelle. Elle craint moins un homme de génie dépourvu de volonté qu’une nature vigoureuse qui n’a qu’une intelligence moyenne. Quant à ceux qui n’ont ni intelligence ni volonté, elle les porte aux nues ! 

AH (P.91-92)

 

Cette tactique, qui est basée sur une juste évaluation des faiblesses humaines, doit conduire presque mathématiquement au succès (La social démocratie)

AH (P.92)

 

Il faut dire aux natures faibles qu’il s’agit en cette occurrence d’être ou de ne pas être. Je compris l’importance de la terreur corporelle que l’individu a de la masse. Ici encore, juste psychologie ! 

AH (P.93)

 

La terreur sur le chantier, à l’usine, aux lieux de réunion et à l’occasion des meetings, aura toujours un plein succès tant qu’une terreur égale ne lui barrera pas la route. 

AH (P.93)

 

Seul, quiconque connaît l’âme du peuple non d’après les livres, mais d’après la vie, peut s’en rendre compte. (L'impression du succès)

AH (P.93)

 

le plus souvent l’adversaire vaincu désespérera du succès de toute résistance future. 

AH (P.93-94)

 

Plus j’appris à connaître les méthodes de la terreur corporelle, plus grandit mon indulgence à l’égard de la multitude qui la subissait.

AH (P.94)

 

Je bénis mes souffrances d’alors de m’avoir rendu à mon peuple, et de m’avoir appris à distinguer entre meneurs et victimes. 

AH (P.94)

 

j’y ai rencontré de rares sentiments de sacrifice, de camaraderie fidèle, d’extraordinaire modération et de réserve pleine de modestie, surtout chez des ouvriers d’un certain âge.

AH (P.94)

 

bien que ces vertus se perdent de plus en plus dans les nouvelles générations, surtout sous l’influence de la grande ville, il y reste encore beaucoup de jeunes gens chez qui une nature foncièrement saine l’emporte sur les vilenies ordinaires de la vie.

AH (P.94)

 

C’est la misère qui, s’emparant d’eux un jour ou l’autre, les a poussés dans le camp de la Social-Démocratie. 

AH (P.95)

 

La bourgeoisie ayant fait front un nombre incalculable de fois, de la façon la plus maladroite comme la plus immorale, contre les exigences des travailleurs même les plus légitimement humaines, sans d’ailleurs tirer ni pouvoir espérer un profit quelconque d’une telle attitude, le travailleur honnête s’est trouvé lui-même poussé de l’organisation syndicale vers la politique. 

AH (P.95)

 

En s’opposant à toutes les réformes sociales, ils ont semé la haine ; et ils ont donné raison en apparence aux propres affirmations de l’ennemi

AH (P.96)

 

J’avais vingt ans, lorsque j’appris à distinguer entre les syndicats en tant que moyens pour le travailleur de défendre ses droits sociaux et de lutter pour de meilleures conditions d’existence, et les syndicats, en tant qu’instruments du parti de la lutte politique des classes.

AH (P.96-97)

 

Il est donc superflu de se demander si l’activité syndicale est indispensable. 

AH (P.97)

 

sauvegarder la fidélité et la confiance chez le peuple, c’est agir dans l’intérêt de la nation, tout comme sauvegarder sa santé. 

AH (P.98)

 

Lorsque d’indignes entrepreneurs se sentent étrangers à la communauté nationale et menacent la santé physique et morale d’une classe, leur avidité ou leur insouciance ont une action néfaste sur l’avenir du pays. 

AH (P.98)

 

Que l’on ne dise pas que chacun est libre de tirer les conséquences des injustices réelles ou imaginaires dont il se croit victime. Non : il n’y a là qu’une ruse de guerre pour détourner l’attention.

AH (P.98)

 

un ouvrier isolé n’est jamais en mesure de faire obstacle à la puissance d’un gros employeur

AH (P.98)

 

 Il n’y a plus qu’à être plus fort

AH (P.98-99)

 

 Lorsque des hommes sont traités indignement, ou en méconnaissance des lois sociales, et que la résistance apparaît de ce fait nécessaire, tant que des lois et des juges n’auront pas été institués pour mettre un terme aux injustices, la force seule décidera des conflits.

AH (P.99)

 

il est évident qu’une multitude d’employés doit se grouper et se donner comme représentant un individu déterminé, pour conserver quelques chances de succès contre l’individu qui incarne à lui seul la puissance de l’entreprise.

AH (P.99)

 

* * *


 Si tu n’es pas un camarade, on te brisera le crâne.

AH (P.103)

 

* * *

 

La littérature officielle du parti ne pouvait m’être à cet égard d’une grande utilité. Quand elle s’occupe de questions économiques, ses affirmations et les preuves qu’elle en donne sont fausses ; quand elle traite de buts politiques, elle manque de sincérité. En outre, son esprit de chicane, revêtu d’une forme moderne, et la façon dont les arguments étaient présentés m’inspiraient une profonde répugnance. 

AH (P.103)

 

 Il faut être un de ces bohêmes décadents de nos grandes villes pour se sentir à l’aise et comme chez soi dans ce labyrinthe où se perd la raison et pêcher dans ce fumier de dadaïsme littéraire des impressions intimes

AH (P.104)

 

Seule, la connaissance de ce que sont les Juifs donne la clef des buts dissimulés, donc réellement poursuivis par la Social-Démocratie.

AH (P.105)

 

Connaître ce peuple, c’est ôter le bandeau d’idées fausses qui nous aveugle sur les buts et les intentions de ce parti ; à travers ses déclamations nébuleuses et embrouillées sur la question sociale, on voit poindre la figure grotesque et grimaçante du marxisme. (Les Juifs)

AH (P.105)

 

Il me serait difficile aujourd’hui, sinon impossible, de dire à quelle époque le nom de Juif éveilla pour la première fois en moi des idées particulières. Je ne me souviens pas d’avoir entendu prononcer ce mot dans la maison paternelle du vivant de mon père. Je crois que ce digne homme aurait considéré comme arriérés des gens qui auraient prononcé ce nom sur un certain ton.

AH (P.105)

 

Ce n’est que lorsque peu à peu le calme se rétablit en moi et que ces images fiévreuses commencèrent à se clarifier que je songeai à regarder plus attentivement le monde nouveau qui m’entourait et qu’entre autres je me heurtai à la question juive. 

AH (P.107)

 

 le ton de la presse antisémite de Vienne me paraissait indigne des traditions d’un grand peuple civilisé.

AH (P.107)

 

Mais ce qui me choquait fréquemment, c’était la façon indécente dont cette presse faisait sa cour au gouvernement. Il ne se passait pas à la Hofburg le moindre événement qui ne fût rapporté aux lecteurs dans des termes manifestant soit un enthousiasme délirant, soit l’affliction et la consternation. C’était un chiqué qui, surtout lorsqu’il était question du « plus sage monarque » de tous les temps, rappelait presque la danse qu’exécute le coq de bruyère au temps du rut pour séduire sa femelle. 

AH (P.109)

 

La vie politique est moins réjouissante de l'intérieur.

Gaspari KOMOL Inspiré de AH - Mein Kampf (P.110)

 

La raison se rallie au sentiment pour devenir son fidèle gardien et conseiller. 

Gaspari KOMOL Inspiré de AH - Mein Kampf (P.113)

 

Les leçons de choses que donnait la rue à Vienne m’avaient

rendu d’inappréciables services.

AH (P.113)

 

Lire permet de lever certains doutes.

Gaspari KOMOL Inspiré de AH - Mein Kampf (P.113)

 

Certains auteurs partent malheureusement de l'hypothèse que leurs lecteurs connaissent ou comprennent déjà dans une certaine mesure la quintessence de leur ouvrage.


Gaspari KOMOL Inspiré de AH - Mein Kampf (P.114)

 

Sionisme

AH (P.115)

 

Ceux qu’on appelait Juifs libéraux ne désavouaient pas, en effet, les Juifs sionistes comme n’étant pas leurs frères de race, mais seulement parce qu’ils confessaient publiquement leur judaïsme, avec un manque de sens pratique qui pouvait même être dangereux. 

AH (P.115)

 

Cette supercherie était indigne de la noblesse et de la propreté morales dont se targuait sans cesse ce peuple. 

AH (P.116)

 

La propreté morale ou autre de certains peuples a quelque chose de bien particulier.

Gaspari KOMOL Inspiré de AH - Mein Kampf (P.117)

 

Les propos pleins d’onction et les serments ne servent plus à grand-chose; ils n’ont plus d’effet.

Gaspari KOMOL Inspiré de AH - Mein Kampf (P.117)

 

Naturellement, plus le niveau moral et intellectuel des fabricants de ces œuvres artistiques est bas, plus inépuisable est leur fécondité.

AH (P.117)

 

Il était épouvantable de penser, mais on ne pouvait se faire d’illusion sur ce point, que le Juif semblait avoir été spécialement destiné par la nature à jouer ce rôle honteux. Était-ce en cela qu’il était le peuple élu ? 

AH (P.117)

 

Le sentiment aura beau se cabrer, la raison n’en tira pas moins ses conclusions. 

Gaspari KOMOL Inspiré de AH - Mein Kampf (P.118)

 

L’impartialité des exposés me paraissait maintenant plutôt mensonge que vérité.

AH (P.118)

 

La distinction de son ton quand elle répondait aux attaques de ses adversaires ou son silence de mort à leur endroit se révélaient à moi comme des trucs aussi malins que méprisables.

AH (P.118)

 

La rue me donna des leçons de choses qui me furent souvent pénibles.

AH (P.120)

 

La première fois que je constatais que c’était le Juif impassible et sans vergogne qui dirigeait de la sorte, avec une expérience consommée, cette exploitation révoltante du vice dans la lie de la grande ville, un léger frisson me courut dans le dos. 

AH (P.120)

 

Lorsque je découvris que le Juif était le chef de la Social-Démocratie, les écailles commencèrent à me tomber des yeux. Ce fut la fin du long combat intérieur que j’avais eu à soutenir. 

AH (P.121)

 

J’avais déjà remarqué avec quelle étonnante facilité ils changeaient d’opinion sur la même question, parfois en quelques jours, souvent même en quelques heures.

AH (P.121)

 

Remarquez avec quelle étonnante facilité les politiciens changent d’opinion sur la même question, souvent même en quelques heures.

AH (P.121)

 

Il m’était difficile de comprendre comment des hommes qui avaient toujours des idées raisonnables, quand on leur parlait en tête-à-tête, les perdaient d’un coup sitôt qu’ils retombaient sous la domination de la masse. Cela me mettait souvent au désespoir.

AH (P.121)

 

Cette hostilité contre leur propre espèce, leur propre nid, leur propre pays natal était aussi absurde qu’incompréhensible. Elle était contraire à la nature. 

AH (P.122)

 

* * *

 

Le sot compte d’abord sur la sottise de son adversaire et, quand ils ne trouve plus d’échappatoire, il se donne à lui-même d’être sot.

AH (P.125)

 

On ne savait pas ce qu’on devait le plus admirer : l’abondance de leur verbiage ou leur art du mensonge. 

AH (P.126)

 

 seul le cerveau d’un monstre, non celui d’un homme, pouvait concevoir le plan d’une organisation dont l’action devait avoir pour résultat dernier l’effondrement de la civilisation et par suite la transformation du monde en un désert.

AH (P.127)

 

Le cosmopolite sans énergie que j’avais été jusqu’alors devint un antisémite fanatique.

AH (P.1128)

 

me demandai soudain avec anxiété si le destin, dont les vues sont insondables, ne voulait pas, pour des raisons inconnues de nous autres pauvres hommes, et en vertu d’une décision immuable, la victoire finale de ce petit peuple ? 

AH (P.129)

 

Le droit que nous estimons avoir de lutter pour notre conservation est-il réellement fondé, ou n’existe-t-il que dans notre esprit ? 

AH (P.129)

 

Elle nie la valeur individuelle de l’homme, conteste l’importance de l’entité ethnique et de la race, et prive ainsi l’humanité de la condition préalable mise à son existence et à sa civilisation. (Sur La doctrine juive du marxisme)

AH (P.129)

 

Si le Juif, à l’aide de sa profession de foi marxiste, remporte la victoire sur les peuples de ce monde, son diadème sera la couronne mortuaire de l’humanité. Alors notre planète recommencera à parcourir l’éther comme elle l’a fait il y a des millions d’années : il n’y aura plus d’hommes à sa surface.

AH (P.130)

 

La nature éternelle se venge impitoyablement quand on transgresse ses commandements. 

AH (P.130)

 

Je crois agir selon l’esprit du Tout- Puissant, notre créateur, car : 
En me défendant contre le Juif, je combats pour défendre l’œuvre du Seigneur. 

AH (P.130)


 

*

Chapitre III  

*

Considérations politiques générales touchant mon séjour à Vienne

*

 

L’homme, hors le cas de dons exceptionnels, ne doit pas se lancer dans la politique active avant sa trentième année ... C’est seulement après avoir acquis un ... fonds d’idées générales, et après s’être fait une solide opinion personnelle sur chacune des questions d’actualité que l’homme mûri, peut participer à la vie politique publique. S’il n’en est pas ainsi, il court le danger ... de devoir modifier un jour la position qu’il avait prise sur des questions essentielles.

AH (P.131)

 

Moins le chef croit lui-même en ce qu’il professe, plus sa justification en est creuse.

AH (P.132)

 

On ne donne sa vie que pour ses convictions.

AH (P.132)

 

Politicien : cette sorte de gens dont l’unique et véritable conviction est l’absence de conviction, associée à une insolence importune et à un art éhonté du mensonge.

AH (P.132)

 

Un Chef qui doit abandonner ses théories générales parce que reconnues fausses, n’agit avec dignité que s’il est prêt à en subir toutes les conséquences.

AH (P.133)

 

* * *

 

Il est impossible, avec dix millions d’hommes, de maintenir durablement un État de cinquante millions, à moins que des hypothèses parfaitement déterminées ne se trouvent justement réalisées en temps opportun.

AH (P.136)

 

L’art et la science étaient aussi allemands. Exception faite pour la camelote, fruit des tendances artistiques modernes, qui aurait d’ailleurs pu être attribuée aussi bien à un peuple de nègres. (C'est la première fois qu'Hitler énonce un mot pour désigner un individu d'Afrique).

AH (P.138)

 

Il viendra un jour où les poussées des divers peuples seraient plus puissantes que la force de cohésion des intérêts communs.

Gaspari KOMOL Inspiré de AH - Mein Kampf (P.140)

 

Ce n’est qu’à la longue, par l’école et par la propagande, que l’on peut créer un sentiment national commun.

Gaspari KOMOL Inspiré de AH - Mein Kampf (P.141)

 

Dans les questions de colonisation, la persévérance a plus d’importance que l’énergie dépensée à un moment donné. 

AH (P.141)

 

Il est inutile d’insister sur la nécessité d’une unité absolue dans les administrations.
 
AH (P.141)

 

Le coupable de la ruine d'un pays est le coupable de toutes les autres omissions.

Gaspari KOMOL Inspiré de AH - Mein Kampf (P.141)

 

L’État ethnique peut quelque fois, grâce à l’inertie naturelle de ses populations et à la force de résistance qu’elle implique, supporter de façon étonnante et sans en souffrir gravement de longues périodes de mauvaise administration ou de mauvaise direction.

AH (P.141-142)

 

L'inertie naturelle: c’est ce qui se passe souvent alors que toute apparence de vie a disparu d’un corps et que l’on se croit en présence d’un cadavre, jusqu’à ce que soudain le « passé pour mort » se relève et donne au reste de l’humanité des manifestations étonnantes de sa vitalité intacte.

AH (P.142)

 

Toute faiblesse de l'administration sera l’occasion d’un réveil de tous les instincts particularistes qui pré-existent en chaque race, et qui n’ont pu se manifester aux époques où une volonté dominait.

AH (P.142)

 

Plus un État est jeune, plus il dépend de la grandeur du régime gouvernant. Très souvent on a vu les œuvres de génies dominateurs tomber dans le néant dès la mort du grand fondateur.

Gaspari KOMOL Reformulation de AH - Mein Kampf (P.142-143)

 

Parfois le successeur n’est pas à la hauteur de ses tâches, ni par l’esprit, ni par la volonté. 

Gaspari KOMOL Reformulation de AH - Mein Kampf (P.144)

 

Certaines désagrégations sont aussi émouvantes qu'instructives.

AH (P.144)

 

Je ne veux pas me perdre dans des détails qui ne sont pas l’affaire de ce livre ; je veux seulement examiner plus à fond ceux de ces événements qui, causes éternelles de la ruine des peuples et des États, ont encore un intérêt d’actualité, et qui, enfin, m’aidèrent à asseoir mes conceptions politiques.

AH (P.145)

 

* * *

 

Retour à l'accueil